Dix solutions pour sortir de la "Crise" du marché des vins français
Redéfinir le décret de 1936 sur les appellations d'origines
Réformer le système de classement INAO (voir article "Le Vin…")
Interdire l'utilisation systématique d'artifices oenologiques, comme l'évaporation sous vide, la cryo-extraction, le flash détente, l'osmose inverse, la micro-oxygénation, l'enzymage, le levurage industriel...
Instaurer une vraie "Contre-Etiquette" (voir article "Oui, pour une contre étiquette")
Refuser la mention de cépage comme unique référent sur l'étiquette. Un vin est avant tout la rencontre d'un terroir, d'un homme et d'un millésime. Le cépage n'est qu'un support. Exemple: Deux vins issus du même cépage, de la même vinification et vinifier par le même vigneron, peuvent avoir des expressions complètement différentes comme en Bourgogne par exemple...
Favoriser des campagnes d'information et de communication qualitatives et pertinentes
Organiser des colloques professionnels internationales ; Dégustateur Pro, Vignerons, Sommeliers, Critiques, Oenologues... pour donner ensemble une définition internationale au mot "Vin". Et créer une Charte Qualité internationales afin de différencier les "vrais" Vins de tradition, des produits agroalimentaires à base de raisin
Arrêter de penser que les vins français sont les meilleurs du monde et que seule la France a des terroirs d'exception…
Redéfinir une politique tarifaire cohérente (voir article "Préambule")
Récompenser par des primes les vignerons pratiquant une viticulture respectueuse de la nature et de ses fruits et dont la production répond à la charte de qualité internationale.
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